Nom: Mikashati
Prenom:Akira
rang: niveau experience et puissance à peu près égale à celle d’un chunnin
Motivation: Faire ce qui lui semblera être juste et ne pas avoir à subir les descisions des autres.
Pourquoi konoha ?: Le village semble calme...
Histoire: Akira est née dans un clan de nomades. Elle a passée son enfance à se balader de village en village et de villes en villes, là où le clan pouvait s’arrêter. Son père fut, après la mort de son frère ainé nommé chef de clan. Desesperant d’avoir un fils, il dut se résoudre à enseigner les techniques de combat des nomades pour qu’elle puisse prendre sa suite à sa mort. Il l’entraina donc durement, sachant que si elle ne réussissait pas, il devrait rendre le statut de chef à l’un de ses cousins. Les sages se faisant de plus en plus pressant, le père d’Akira, qui s’appellait Ayo chercha un mari à sa fille pour qu’elle puisse donner naissance à un fils, héritier du clan. Refusant ce destin, Akira redoubla d’effort pour s’entrainer, mais ce n’était jamais assez. Petit à petit, elle fut conditionnée, mariée et le soir de la noce arriva. L’homme que l’on lui avait choisis avait seulement un an de plus qu’elle et était un des plus grands espoirs du clan. Ayo esperait que cet homme comblerait les gènes déficients de sa fille et permettrait la naissance d’un combattant surpuissant. Akira refusa de venir dormir à ses côtés, se battut comme une furie quand il voulut lui faire retirer sa robe de mariage. Fou de rage qu’une femme ne se plie pas à ses ordres, il attrapa le sabre que lui avait offert son beau père comme cadeau de mariage et l’abattit sur Akira qui ne vu rien venir.
Elle porte encore la marque sur son dos, fine cicatrice dorée sur sa peau café au lait.
Le lendemain, quand la famille des mariés réussirent à pénétrer dans la chambre nuptiale, ils la trouvèrent ravagés, les draps du lit retirés, le matelas crevé, les murs griffés comme si une bête sauvage était entrée pendant la nuit. Le mari, caché sous un drap, le regard vide de vie, tout ses os broyés, sa peau mat griffée de coups de sabre et, sur son coeur, un parchemin roulé. En tremblant, la troupe le déroulèrent. On avait écrit cette simple phrase: N’essayez pas de me suivre.
Le lendemain, le père mourut de crise cardiaque. En tout cas, c’est tout ce que put déceler le médecin légiste qui l’ausculta.
Qui suis-je? Vous n’avez pas à le savoir. Pourquoi vous ai-je raconté tout cela? Je ne le sais pas moi même. Un conseil cependant:
N’essayez pas de la suivre. Jamais.