Nom: Mibu
Prénom: Tokito
Age: 16
Sexe: masculin
Village: Kumo no kuni
Physique: Tokito ressemble à un enfant. Il est petit est extrêmement mince. Il a gardé ses traits d'enfant et ne changera plus, même si il vieillit. Même si son sourire, à première vue est doux et chaleureux, il cache une force terrible et un esprit sans pitié. Tokito est blond, aux cheveux courts et à des yeux bleu clair. Tokito a une condition physique fragile.
Caractère: Tokito est une personne extrêmement maître de lui. Il contrôle parfaitement ses émotions et il est ainsi difficile de le cerner. Il sait très bien cacher telle ou telle partie de sa personnalité. Toutefois, il devient vite terrible durant les combats, ne laissant aucunes chance et étant sans pitié envers ses adversaires. Le point le plus sensible de sa personnalité est quant on lui parle de son père.
Histoire:
Je suis né dans le petit village de Kumo no Kuni un jour d'hiver. La première chose que je vis en ouvrant les yeux fût le ciel gris et les flocons de neige blancs tombant comme de la pluie. Ma première sensation fût celle du froid et d'être mouillé. Le premier son que j'entendis fût d'abord celui du vent puis des halètement d'épuisement de ma mère. Alors que je pousser mes premiers gémissement d'enfant, je sentis des mains fraîche m'attraper et me retourner. Je vis alors pour la première fois ma mère. Elle était belle et souriait. Je l'entend encore me chuchoter:
" Bienvenue dans la vie Tokito... enfant des flocons."
Ma mère, sentant que j'arrivais, n'avait pas été assez rapide pour aller prévenir la voisine et avait accoucher dehors au milieu de l'étendue blanche qu'était Kumo à cette période de l'année. Le surnom qu'elle me donna ce jour là, Tokito l'enfant des flocons, reste encore aujourd'hui la chose la plus douce que j'ai entendu. Je me rappel que nous ations resté comme ça, tout les deux, pendant un long moment avant que quelqu'un, que je ne connaissais pas encore, arrive en courant. Il avait de longs cheveux blonds et un visage angélique.
" Mayami ! Que fais-tu là? Est-ce que ça va? Tu ne dois pas sortir dans ton état, tu... "
"Muramassa, je te présente ton fils, Tokito. "
Ma mère me tendit alors à cet homme. Il était donc mon père. Il regarda ma mère ébahit, totalement pris au dépourvu, puis il tourna les yeux vers moi. Je le regardais aussi et je lus dans ses yeux une forte émotion. Ses yeux se remplirent de larmes. Il tendit alors des mains tremblantes vers moi et me prit dans ses bras. Sa chaleur était extrêmement agréable et, pour la première fois de ma vie, je m'endormis.
Ma mère mourût 2 ans plus tard d'une maladie incurable. A son enterrement j'avais cru que mon père ne sourirait plus jamais et ne voudrais plus continuer à vivre. J'eus tords… il continua à vivre pour moi. Il était le père le plus aimant que l'on puisse avoir. Il m'apprit tous les secrets de notre clan, me donna toute la tendresse possible. Je l'aimais. Du plus profond de mon coeur j'aimais mon père, son visage engélique et son sourire. Je voulais passer ma vie avec lui, et le rendre le plus fier possible de son fils unique. Qu’il n’ai jamais à rougir de mon nom et que de mon côté, je puisse honorer le mien.
Ainsi, quand je fûs reçu comme élève du Shodaime Raikage, Sire Fubuki, une joie monumentale pris par dans mon esprit. C’était le meilleur ami de mon père mais surtout le shinobi le plus puissant que Kumo n’ai jamais porté. J’avais déjà eu l’occasion de le voir à l’œuvre mais c’est quand il enseignait qu’il exploitait toute sa sagesse, son savoir et son charisme. Il était le meilleur instructeur qu’un jeune shinobi puisse avoir.
C’est aussi durant ses années que je rencontris mon meilleur ami, l’autre élève de Fubuki, Kahiashi. J’appris qu’il était le fils adoptif de Fubuki et qu’il était désigné comme étant son potentiel successeur.
Mon destin était decidemment tracé, mon père Muramassa avait servit son meilleur ami, le Raikage, et je devrais donc en faire de même. Cela ne me gêné pas, c’était le destin de notre clan. Le clan Mibu, protecteur de l’ombre du pouvoir. Appelé aussi le clan divin grâce à notre pouvoir. (voir fiche)
Les années passèrent, j’avançais tous les jours un peu plus sur la voie du parfait shinobi, et mes amis devenaient de plus en plus important pour moi. Malheureusement un jour tout bascula.
Fubuki avait toujours mené ses affaires et celles du village comme il l’entendait et se fichait bien des accords divers. Il faisait ce qu’il pensait être bon pour Kumo et ses habitants. Un jour, une missive venant de Kuna parvint à notre village. Elle sommait tous les villages, et shinobis qu’il pourrait fournir, de s’engager dans une guerre contre les Shikagimis. Tous villages refusant se verraient atribuer de lourdes sanctions. Fubuki se fichait de telles choses et ne voulait prendre le risque d’entraîner ses amis dans une longue et sanglante guerre. Alors toutes ces choses arrivèrent.
Une nuit, alors que le vent soufflait paisiblement et que la naige tombait calmement comme à son habitude, des shinobis masqués pénètrerent dans notre village. Pris par surprise, les gens paniquèrent, et s’enfuirent dans tous les sens, les shinobis de garde se trouvèrent totalement dépassés par les évènements. Les villageois étaient alors des proies faciles pour les ninjas étrangers. Les rues se remplirent vite de sang qui serva à écrire sur les murs, sous forme de graffitis, des choses telles que "Mort aux traîtres" , " tuez les enfants des lâches"…
Avant que la riposte ne se mette en place, nous avions perdu de nombreux combattants. Fubuki, mon père, Kahiashi, les autres shinobis et moi-même organisèrent alors une tactique de combat. Nous étions rapides et puissants certes, mais trop de sang avait déjà coulé et nous étiont écrasés sous le nombre de l’ennemie. Tout se passa alors très vite. Les shinobis étrangers repérant Fubuki comme étant le plus fort du lot, et l’identifiant comme étant le Raikage, se précipitèrent en masse sur lui. Fubuki se battait comme un lion et avec toute sa hargne mais il ne vit pas un des shinobis s’avançait derrière lui, un long katana à la main. Au moment ou la lame allait le transpercer, mon père s’interposa. Il se fit transpercer, sous mes yeux, tout en essayant de ralentir la lame pour qu’elle ne blesse Fubuki. Fubuki se retourna et vit le corps de son meilleur ami allongé par terre, lui souriant.
« Je suis mort pour toi. Mais aussi pour Tokito. Vis et protège le à ma place Fubuki… Je te fait confiance. Ces enfants… sont… l’espoir… »
Sur ces dernières paroles, mon père ferma définitivement les yeux sur ce monde. Fubuki le tenait dans ses bras et des larmes coulèrent de ses joues. Sa douleur était tellement forte qu’il ne fesait plus attention à rien, moi non plus d’ailleurs. C’est alors que je vis couler de sa bouche un filet de sang. Il nous regarda Kahiashi et moi et sourit. Il tomba alors en avant et nous vire derrière lui un homme, tenant dans sa main un katana couvert de sang.
Je ne sais même plus comment cette bataille se finit. Peut être que le vrai but des shinobis masqués était de tuer Fubuki. Peu importe, toujours est-il qu’ils se replièrent après cette scène.
Mon père n’était pas mort pour moi. Il n’avait jamais vécu pour moi mais seulement pour accomplir son devoir. Je décidais alors de renier l’existence même de mon père Muramassa, le qualifiant « d’imbécile ayant vécu vainement »… Le plus profond de mon cœur, lui, ne pouvait s’empêcher de verser des larmes et de souffrir. S’il devait véritablement pleurer, en ces temps je serais noyé dans un océan de larmes de sang.
Le clan Mibu: le clan Mibu était autrefois appelé le clan divin de l’ombre. Il fût crée pour protéger le Raikage et le village grâce à leurs pouvoirs. Tout d’abords, les Mibu dispose d’un don leur permettant de posséder une vitesse divine. Ils sont tellement rapides qu’ils disparraissent totalement. Leur corps léger et petit leur permettent de s’approcher de leurs ennemis sans dégager le moindre souffle. Ils possèdent aussi une aura meurtrière extrêmement puissante. Lors d’un combat, l’adversaire se sent comme pris dans les entrailles même du Mibu. S’il est faible (étudiant, genin), il est totalement paralysé.
En plus de leur don héréditaire, les Mibu montraient une étrange disposition pour la médecine, en fesant de remarquables ninja médicaux.